Octobre - Transitions

Je vais donner ma première masterclass sur les transitions le 30 octobre.

Je te diffuserai plein de contenu sur la transition tout au long du mois d’octobre.

Pourquoi le mois d’octobre et pourquoi parler de transition ?

Je vais célébrer les 2 ans de la transition, ma mère le 26 octobre. Ma mère a quitté la densité du corps pour aller vers l’absence de densité et la liberté totale. Du moment où elle a fait sa transition, la première chose que j’ai faite, c’est de chercher autre chose que ce qu’on dit traditionnellement sur la mort. Autre chose que : c’est difficile, c’est la première année la plus difficile et les autres croyances qu’on a, reliées à la mort.

Ce n’est pas que c’est correct ou pas correct de penser comme cela, mais j’avais envie de déguster autre chose, de vibrer autrement cette transition-là qui pour moi n’est pas une fin en soi, mais qui est juste la fin de la densité du corps pour aller vers une nouvelle vie.

Donc, lorsque ma mère a fait sa transition… (j’en ai parlé aussi dans mon livre La poussière peut attendre dont je te lirai des extraits pendant le mois d’octobre.) Du moment où je suis revenue à la maison, la seule chose que je voulais explorer, c’est   : qu’est-ce qu’il y a d’autre ? C’est ça qui, pour moi, me faisait le plus de bien. Qu’est-ce qui se passe après ? Je me suis mise à lire, à écouter différents guides spirituels, différentes classes pour explorer Comment voir la transition autrement ?

C’est ainsi que j’en suis venue à préférer le mot transition au mot mort.

Je n’ai pas perdu ma mère. Ma mère est simplement sous une nouvelle forme, une forme où elle est joyeuse, elle est légère, elle est virevoltante, elle est bien et j’ai la capacité de l’entendre quand j’ai envie de l’entendre.

 C’est une capacité que nous avons tous.

Donc, le 30 octobre, il va y avoir une journée complète sur les transitions. Même si mon discours va être plus orienté vers la transition du corps, on pourra inclure aussi la dépression, le deuil, la démission, la perte d’emploi, le divorce, la séparation, parce que tout ça, ce sont des transitions. Qu’est-ce que ça prendrait pour qu’on en parle avec beaucoup plus d’énergie, de grandeur, de phénoménance, de possibilités ?

Transitionner, c’est ce qui amène vers autre chose.

Je t’invite à t’abonner à mon infolettre et à suivre ce qui va se passer sur les différents réseaux sociaux afin que tu puisses peut-être sauter dans l’aventure, gouter à tout ce qui sera gratuit en lien avec les transitions et choisir ou pas de venir t’amuser avec moi toute la journée dans cette classe sur les transitions, le 30 octobre.

Propos recueillis par Sylvie Dolbec
Photo : Jr Korpa